Safari au Kenya : principe & conseils pour bien le préparer

Un éléphant au Kenya

Préparer son safari au Kenya

Réaliser un safari au Kenya, ou plus généralement dans un pays d’Afrique, est souvent un vieux rêve. Et pour cause : observer des animaux sauvages dans leur milieu naturel, au cœur de superbes paysages, sont des moments que l’on souhaite pouvoir découvrir un jour.

Je suis passé par-là et j’ai donc réalisé ce rêve il y a quelques années. De par ce retour d’expérience, je partage dans cet article mes conseils pour préparer un safari au Kenya.

Un safari au Kenya : pour quoi faire ?

Coucher de soleil sur le Masai Mara

Coucher de soleil sur le Masai Mara

C’est la question qu’il faut se poser dès le départ avant même de commencer ses préparatifs.

  • Est-ce que j’y vais pour découvrir quelques parcs et voir certaines espèces ou ai-je des envies particulières ?
  • Est-ce que je veux faire de mon voyage au Kenya uniquement un enchaînement de safaris dans des parcs, ou est-ce que je veux me poser aussi au bord de la mer ?
  • Quelle est la meilleure période pour faire un safari ?
  • Et enfin : est-ce que je me sens de partir par moi-même, ou est-ce que je passe par une agence spécialisée ?

Je donne dans cet article des éléments de réponse à ces questions. Ainsi que des conseils pratiques pour préparer tous les aspects de son safari au Kenya.

Les espèces animales et les parcs

Girafe au Kenya

Girafe au bord de l’eau

Evidemment un safari n’est pas une sortie au zoo. D’une part on n’observe que les animaux que l’on rencontre. Et d’autre part toutes les espèces ne sont pas rassemblées au même endroit, et il faudra de ce fait se rendre dans plusieurs parcs pour élargir le nombre d’espèces à voir.

Même si je ne défends pas forcément cette approche, l’une d’entre elles peut être de vouloir profiter de son safari au Kenya pour rencontrer les fameux « Big Five ».

Il s’agit de 5 espèces africaines « emblématiques » qu’il convient, selon certains critères, de voir lorsque l’on se rend en Afrique pour un safari.

C’est clairement subjectif et est issu d’un passé lié à la chasse, très loin des considérations actuelles pour lesquelles on part faire un safari au Kenya. Je pense à l’observation des animaux tout simplement, ou à la photographie bien sûr 🙂 .

J’ai dédié un article complet sur le blog à ce sujet, en indiquant où j’ai rencontré ces Big Five au Kenya. Je n’entre donc pas dans les détails ici, si ce n’est pour indiquer que pour augmenter ses chances d’atteindre cet objectif il faut se rendre dans plusieurs parcs !

Le safari au Kenya au cœur du voyage ?

Parc national d'Amboseli au Kenya

Le sommet enneigé du Kilimandjaro qui dépasse un tout petit peu des nuages…

La diversité des parcs et des espèces font que l’on peut passer facilement une semaine à traverser le pays.

Ce mode de voyage, itinérant, a pour but premier de parcourir une partie du pays (la partie sud en l’occurrence) afin d’aller à la rencontre des animaux.

Mais ce n’est pas l’unique alternative car il est possible aussi d’envisager son séjour au Kenya en bord de mer, du côté de Mombasa par exemple. Ou dans la capitale Nairobi. Puis de réaliser un ou plusieurs safaris, par soi-même ou via un prestataire local durant son séjour.

Cette approche est différente mais permet de coupler les aspects plage et découverte de la nature.

Le survol du Masai Mara en montgolfière

Le survol du Masai Mara en montgolfière

Pour ma part, j’avais opté pour la solution d’un safari au Kenya itinérant. J’étais passé par une agence qui propose des séjours personnalisés (comme celle-ci où les demandes de devis en ligne sont gratuites).

C’était un itinéraire à travers les parcs du Masai Mara, Amboseli, Nakuru et Tsavo.

Dans ce contexte j’ai passé ma première et ma dernière journée respectivement dans les villes de Nairobi et de Mombasa (au bord de la plage), afin de découvrir également ces deux villes kenyannes.

C’est néanmoins clairement la partie safari que je retiens ! La ville de Nairobi ne présente que peu d’intérêt et le contraste à Mombasa entre la ville aux apparences très pauvres et les hôtels de luxe en bord de mer m’a un peu choqué !

Je recommande donc clairement un séjour itinérant.

Les meilleures saisons pour un safari au Kenya

Lion au Kenya

Observer le lion : l’un des objectifs en général lors d’un safari au Kenya

Il existe globalement 3 saisons dans cette zone de l’Afrique :

  • la saison des pluies, d’avril à juin. On parle même de mousson.
  • la période qui suit, de juin à novembre. C’est l’hiver dans cette partie du monde, et du fait des pluies des mois précédents la végétation est globalement verte.
  • de décembre à mars : la période de l’été, plutôt chaude et sèche.

Il y a autant d’animaux quelque soit la saison, mais on notera tout de même les différences suivantes :

  • pendant la saison des pluies, le sol peut se retrouver fréquemment trempé, rendant plus difficile les déplacements dans les parcs. Néanmoins avec un bon 4×4 ça passe ! En contrepartie les prix sont en général un peu plus bas durant cette période de l’année.
  • la période de migration (notamment des gnous) des plaines du sud vers le Masai Mara a lieu généralement à partir du mois de juillet. Ils y retournent ensuite jusqu’en octobre.

Ces éléments font que les périodes les plus fréquentées sont celles en dehors de la saison des pluies. Avec une fréquentation supérieure encore pour les mois de juin à octobre pour deux raisons : la possibilité de profiter de la migration des gnous et de disposer d’un temps moins sec et moins chaud (une trentaine de °C).

Partir seul ou passer par une agence spécialisée ?

Safari dans le Masai Mara

Même si sur ce blog j’évoque des destinations que j’ai visitées par moi-même, ce safari au Kenya fut différent. Je voulais profiter de ce séjour avec un guide qui connaît bien le terrain, afin de se donner le plus de chances possibles d’observer des animaux.

Si vous envisagez cette solution, je vous suggère les deux options suivantes :

Les « sur mesure »

Les agences de voyage au Kenya sur mesure, en général sur internet, travaillent directement avec des relais locaux selon des critères de qualité précis. Elles limitent ainsi les surcoûts liés aux intermédiaires.

Elles proposent ainsi différents types de safaris au Kenya, et il est possible de voir avec eux pour en planifier un sur-mesure. Les demandes de devis se font en ligne et sont gratuites. Se focalisant uniquement sur la prestation sur place, les réservations de billets d’avion sont à gérer par soi-même.

C’est vers une solution de ce type que je m’étais orienté, avec ce type de circuit incluant les principaux parcs du pays (Masai Mara, Nakuru, Amboseli et Tsavo).

Les « standard »

Celles-ci proposent des safaris dont l’itinéraire et les hébergements sont prédéfinis. Le séjour est bien sûr accompagné d’un guide francophone, spécialiste du terrain, sur place. Les circuits au Kenya proposés incluent ici le vol au départ de Paris, en faisant donc cette fois un package type « clé en main ».

Si l’on aime barouder, organiser entièrement son safari au Kenya est bien évidemment envisageable. Je donne des éléments à ce sujet dans les paragraphes suivants.

Elles ont en général pignon sur rue, et on sélectionne essentiellement par rapport à ses affinités. Mais aussi le prix, le budget, etc… On peut citer par exemple celles de Leclerc, Carrefour, TUI, etc…

Organiser soi-même son safari au Kenya

On peut également organiser son safari au Kenya par soi-même. C’est plus rare, mais certains le font. Je partage quelques éléments d’informations dans les paragraphes suivants.

Les réserves du Kenya

Troupeau d'éléphants aperçus durant un safari à Amboseli au Kenya

Troupeau d’éléphants en fin de journée à Amboseli

Il est important de connaître les réserves, ou parcs, dans lesquels faire étape pour un safari au Kenya. On distingue 2 grandes catégories de parcs :

  • les principaux, ou incontournables, par lesquels on passe en principe pour un premier safari. Ils se situent globalement dans la partie sud du pays. Ce sont ces parcs que j’ai parcouru, et desquels les photos qui illustrent cet article sont issus.
  • les secondaires, moins connus, vers le nord. Cette fois, on sort des sentiers battus. Ils sont davantage destinés à un second voyage au Kenya.

Concrètement, les réserves incontournables sont celles du Masai Mara, d’Amboseli, de Tsavo Est et Ouest, et le lac Nakuru.

Les parcs secondaires sont quant à eux ceux de Samburu, des Aberdares et de Meru. Tous situés entre 4 et 8 heures de route au nord de Nairobi, ils se combinent difficilement avec les principaux parcs du sud. A moins d’y passer au moins 10 jours.

J’aborde le sujet du prix pour entrer dans ces parcs plus loin dans l’article.

La conduite

Autruche marchant au milieu d'une piste au Kenya

Sur une piste…

Le réseau routier (en dehors des parcs) est plutôt en bon état, sur des routes le plus souvent en plaine. Pas de surprise à ce niveau-là donc. En revanche pour sillonner les parcs, on roule cette fois sur des pistes.

Même si ces pistes sont globalement « praticables », ça secoue quand même parfois beaucoup, et certaines sont bien abîmées par endroit. Bref le SUV ou le 4×4 est nécessaire afin d’être surélevé et de disposer des 4 roues motrices en cas de besoin.

Au niveau de la conduite en revanche ce n’est pas si simple : conduite à gauche, code de la route pas toujours respecté, routes mal éclairées, etc…

A noter également que louer une voiture coûte relativement cher dans ce pays ! Pour davantage d’informations sur ce sujet, vous pouvez consulter cet article sur le site de Lonely Planet. Il est complet.

La location de voiture pour un safari au Kenya

Sur une route principale au Kenya

Sur une route principale au Kenya

Je dis « voiture » mais je pense 4×4 / SUV. Même si dans les faits vous pouvez adapter le choix de votre véhicule en fonction des parcs parcourus, il y a de grandes chances que vous deviez disposer d’un 4×4 !

Difficile en effet d’imaginer un safari au Masai Mara, Amboseli, ou à Tsavo avec une voiture basse…

Pour la location d’un 4×4 à Nairobi, le prix est de l’ordre de 1000 € la semaine !

Afin de savoir quels sont les loueurs présents à Nairobi, et afin de réaliser des économies je conseille de passer par un site internet comparateur de loueurs de voitures. Pour cela, vous pouvez utiliser celui de Rental Cars.

Il existe également des prestataires locaux, spécialisés surtout dans la location de 4×4. Ils proposent des véhicules de différentes tailles, ou disposant d’un équipement de camping intégré sur le toit par exemple. Ils sont adaptés pour réaliser un safari au Kenya où l’on veut tout faire par soi-même.

On ne trouve en principe pas ce type de véhicule chez les loueurs habituels. Si vous envisagez d’effectuer une réservation de ce type, vous pouvez par exemple vous renseigner sur ce site (en anglais), et contacter le loueur directement. Je n’ai pas de retour d’expérience à faire sur ce mode.

Le vol

Voyage en avion

Le voyage en avion

Les principaux aéroports sont ceux de Nairobi (la capitale) et Mombasa (grande ville sur la côte Est). Ces deux villes sont séparées d’environ 500 km.

Si l’on regarde par rapport aux points d’intérêt principaux d’un safari au Kenya :

  • Nairobi est « bien situé » pour accéder aux parcs du Masai Mara, d’Amboseli, ou de Nakuru. Le « bien situé » est bien évidemment relatif, il faut compter tout de même 250 km environ pour se rendre au Masai Mara…
  • Mombasa est plus proche que Nairobi pour accéder aux parcs de Tsavo (Tsavo Est et Ouest). De plus, si vous souhaitez inclure une partie plage à votre séjour, ce sera à Mombasa ou ses environs.

Il existe différentes possibilités pour se rendre au Kenya en avion, les plus logiques étant Kenya Airways et Air France, en ligne directe. Mais on peut bien sûr envisager s’y rendre via une autre compagnie en réalisant une ou plusieurs escales. C’est ce que j’avais fait d’ailleurs en passant par la compagnie Ethiopian Airlines, avec escale en Ethiopie donc.

Pour trouver la compagnie aérienne qui répondra le plus à vos contraintes (prix, dates, horaires), je recommande de passer par un site internet comparateurs de vol. Je conseille pour cela celui de Skyscanner, bien connu et que j’utilise régulièrement.

Vous pouvez vous faire une idée des prix avec cet encart, l’aéroport de la capitale étant celui de Nairobi Jomo Kenyatta :

Les logements durant un safari au Kenya

Les chambres sur piloti du Sarova Saltlick Lodge

Le Sarova Saltlick Lodge : lodge sur pilotis !

Le pays dispose d’un réseau d’hôtels (et surtout de lodges) plutôt bien fourni, tourisme oblige. Si vous souhaitez réaliser son safari au Kenya par vous-mêmes, je vous partage les lodges que j’ai le plus apprécié durant mon séjour :

  • Le Ol Tukai Lodge, au cœur de la réserve d’Amboseli.
  • Le Sarova Saltlick Lodge, du côté de Tsavo. Les chambres se trouvent dans des constructions posées sur pilotis, près d’un point d’eau où les animaux (essentiellement des éléphants, buffles et zèbres) viennent s’abreuver. Spectacle garanti ! C’est le coup de cœur de mon safari au Kenya. Les photos de cet établissement parlent d’elles-mêmes en principe 🙂 .

Autre possibilité également : le camping dans des camps dédiés, en tente, à proximité des parcs. C’est forcément plus rudimentaire.

Prix d’entrée dans les parcs

Zèbres dans le Masai Mara

Zèbres dans le Masai Mara

L’accès aux parcs nationaux est payant. Il existe plusieurs catégories de parcs pour lesquels les prix diffèrent.

Les principaux parcs de la partie sud du pays, que l’on visite lors d’un safari au Kenya, font partie de la catégorie la plus chère (je pense au Masai Mara, Amboseli, Tsavo ou Nakuru).

Le tarif appliqué n’est pas le même pour les kenyans que pour les touristes, et on est de l’ordre d’une soixantaine de dollars par adulte et par jour. A titre d’exemple :

  • Pour le parc national du Masai Mara : 70 $
  • Pour le parc national d’Amboseli : 60 $

On paye à l’entrée et on entre dans le parc avec sa voiture. Une fois à l’intérieur, il faut suivre les routes et pistes, sans s’en éloigner. Vous pourrez alors observer les animaux que vous rencontrerez sur les bords de route, ou même carrément sur la route parfois 🙂 .

L’avantage, quand on est avec un guide, c’est qu’il fait parti d’un « réseau » : dès lors que l’un d’entre eux croise quelque chose d’intéressant (une lionne par exemple) il l’indique à ses collègues par talkie-walkie.

Point important : d’un point de vue sécurité il est interdit de sortir des véhicules à l’intérieur des parcs !

Pour prolonger l’expérience du safari en voiture, il est par ailleurs possible de réaliser un vol en montgolfière au lever du soleil dans le Masai Mara. Ce vol est proposé par une société privée qui vient vous chercher dans votre lodge au petit matin. J’ai dédié un article sur le blog à mon expérience sur ce vol en montgolfière au Masai Mara. J’y indique également comment on peut la réserver.

Le matériel à emporter

Un voyage de ce type se prépare un minimum. Il est important d’emporter avec soi le matériel adapté pour en profiter au maximum. J’aborde maintenant ce sujet.

L’appareil photo

Girafe au Kenya

La girafe : l’un des symboles également d’un safari en Afrique

C’est l’un des principaux intérêts du safari : pouvoir photographier les animaux. Et si possible obtenir des photos réussies…

Les contraintes du point de vue de la photo sont multiples :

  • on ne peut pas sortir de la voiture, donc on ne peut pas s’approcher, reculer, ou bouger tout simplement à sa convenance pour réaliser les photos.
  • les animaux ne se trouvent pas toujours près de la voiture.
  • certaines espèces sortent davantage en début et fin de journée, lorsque la luminosité n’est pas forcément idéale.

Vous l’aurez compris, il faut être bien équipé pour pouvoir réaliser de bonnes photos lors d’un safari au Kenya. A minima un bon réflex :

  • permettant de faire des photos en basse luminosité avec une qualité acceptable (techniquement qui monte « bien » dans les ISO).
  • un télé-objectif permettant de zoomer. A noter que même si votre zoom ne permet pas d’aller suffisamment « loin », si la photo est de qualité vous pourrez toujours la retailler par la suite.
  • un pied (éventuellement) pour stabiliser tout ça. Même si l’on ne descend pas des voiture, les 4×4 disposent parfois d’une trappe permettant de sortir par le toit, et de stabiliser son appareil sur un petit pied.

J’ai dédié un article complet sur le blog à cet aspect de l’appareil photo pour faire un safari. Il peut vous être utile si vous envisagez de vous procurer un nouvel appareil ou du matériel photo avant de partir.

Les jumelles

On n’y pense pas forcément, se focalisant en général sur la photo, mais une paire de jumelles comme celles-ci sert lors d’un safari au Kenya.

Parfois, l’appareil photo est inutile car l’animal est trop éloigné. Les jumelles sont alors là pour en profiter de loin. Un safari est fait pour ça à la base de toute manière….

Certes les photos permettent de ramener des souvenirs et de se « faire plaisir » (pour les amateurs ou professionnels), mais l’observation des animaux reste quand même le but premier en général 🙂 .

Un guide sur la faune

Antilope topi au Kenya

L’antilope topi

Cela peut servir si l’on souhaite en apprendre un peu plus sur les espèces animales que l’on rencontre dans les parcs.

Evidemment on sait tous reconnaître un éléphant, une girafe et un zèbre. Mais cela se complique un peu quand on est face à des espèces comme le grand koudou, le dik-dik, ou la gazelle de Thomson par exemple 🙂 .

Un guide explicatif avec des photos permet de reconnaître les espèces pendant son safari au Kenya. Et d’en apprendre un peu plus sur celles-ci.

J’avais un livret de ce type et le regardais régulièrement. Même si mon guide m’en apprenait pas mal sur les espèces animales, on ne retenait pas tout. Parcourir le livret le soir permettait de remettre des noms sur certaines photos prises durant la journée.

Si vous souhaitez vous procurer un guide (en français) sur les mammifères d’Afrique, je vous recommande le Guide Delachaux sur les grands mammifères d’Afrique. Il est bien illustré et contient des informations utiles sur les animaux.

Quels vêtements pour un safari au Kenya ?

Flamants roses du lac Nakuru au Kenya

Les flamants roses du lac Nakuru

Quelque soit la saison il fait plutôt bon, voire chaud. Durant les saisons sèches, on est aux alentours de 30°C l’hiver, et 35°C l’été en journée. Donc inutile de prévoir des vêtements trop chauds.

Privilégiez les pantalons, car même si l’essentiel se fait en voiture, dans les lodges on se retrouve parfois à marcher un peu dans les broussailles.

Contre le soleil, puisqu’on passera du temps à regarder dehors, je conseille bien sûr les lunettes de soleil (évident), mais aussi un chapeau ou un bob.

Enfin, je recommande également d’avoir sur soi du répulsif anti-moustiques. La plupart des lodges disposent de moustiquaires donc la question se pose surtout si l’on campe.

Néanmoins cela va surtout dépendre de la saison et des parcs visités. Pour ma part, durant la saison sèche je n’ai pas été embêté avec les moustiques, si ce n’est un peu du côté du lac Nakuru, humidité oblige !

Ce qu’il faut prévoir avant de partir

Les vaccins à faire avant un safari au Kenya ?

Vous trouverez les informations nécessaires sur le site de l’institut Pasteur. Je ne vais pas me substituer à eux sur cet aspect important, d’autant que cela peut varier !

Un vaccin non nécessaire au moment de la rédaction de cet article pourrait en effet le devenir ultérieurement pour diverses raisons, et inversement.

Vous pouvez également en parler avec votre médecin traitant. Ne négligez pas cet aspect lors des préparatifs de votre safari au Kenya.

L’assurance

Une lionne qui se repose dans un parc du Kenya

Une lionne qui se repose

Si vous passez par une agence, ils vous proposeront probablement une assurance complémentaire.

Je ne parle pas des frais couverts par celle liée à votre carte de crédit, qui couvrent déjà pas mal de choses, notamment en terme de rapatriement. Mais de couvertures complémentaires comme par exemple l’assurance annulation, ou les frais d’hospitalisation sur place si le rapatriement n’est pas envisageable.

Un safari au Kenya n’est pas donné. Le fait de pouvoir annuler permet d’être plus serein. Pour ma part, j’avais pris un complément pour couvrir davantage les cas d’annulation et d’hospitalisation.

Il faut savoir en effet que dans le cas d’une hospitalisation, la mutuelle en France vous rembourse à hauteur du prix que cela coûte en France. Ce qui n’est pas forcément le même prix qu’au Kenya…

Bref, si vous souhaitez partir l’esprit tranquille, vous pouvez prendre une assurance pour quelques dizaines d’euros. Vous pouvez consulter pour cela par exemple l’offre de Chapka et faire un devis. Ils sont spécialisés dans le secteur du tourisme.

Le visa pour le Kenya

Parc national d'Amboseli au Kenya

Le parc national d’Amboseli : une réserve de plusieurs milliers d’éléphants

Le visa est obligatoire pour un safari au Kenya. Depuis 2015, pour simplifier les démarches, un VISA électronique peut être demandé en ligne. N’oubliez pas cette étape durant vos préparatifs !

Vous trouverez les informations nécessaires pour en faire la demande sur ce site internet de e-VISA.

Celui-ci est valable pendant les 90 jours suivant l’arrivée dans le pays, largement suffisant en principe.

La demande en ligne prend quelques jours seulement. On doit alors scanner son passeport pour en fournir la copie. Mais également indiquer les endroits où l’on va se rendre.

Si vous passez par un voyagiste, il se chargera en principe de ces démarches pour vous.

La monnaie et la langue

Pièce de 10 Shilling Kenyan

Pièce de monnaie du Kenya

La monnaie officielle est le shilling kenyan (KSH). En gros 100 KSH = 1 €. Néanmoins le dollar américain est accepté un peu partout, et même l’euro parfois.

Certains lodges acceptent les cartes de crédit, mais prévoyez tout de même de la monnaie au cas où.

Dans tous les cas, vous pourrez retirer de l’argent dans la plupart des banques, ou dans les distributeurs automatiques. Si vous choisissez cette option, prévoyez de le faire quand vous êtes dans une grande ville comme Nairobi ou Mombosa.

Les langues officielles sont le swahili et l’anglais. Parler anglais est donc largement suffisant pour se débrouiller. Peu de monde parle le swahili en réalité.

Mon bilan et avis sur mon safari au Kenya

Parc national d'Amboseli au Kenya

La piste du parc national d’Amboseli, traversée par un troupeau de zèbres…

Réaliser un safari au Kenya est souvent l’aboutissement d’un vieux rêve, il convient donc de bien le préparer afin de ne pas revenir déçu.

Comme indiqué dans cet article j’étais passé par un voyagiste, plutôt haut de gamme, qui relayait un prestataire local composé de guides expérimentés.

Même si cela ne permet pas la souplesse d’un séjour organisé entièrement par soi-même, je ne regrette absolument pas ce choix. Il s’agit clairement de l’un de mes voyages préférés !

Pour un premier safari au Kenya, ce qui était mon cas, cibler les grandes réserves du sud, les plus connues, est je pense ce qu’il faut faire. Elles permettent de découvrir des paysages variés, mais aussi de nombreuses espèces animales. Difficile de revenir sans avoir vu les incontournables d’Afrique, y compris les fameux Big Five.

Quant à la durée, une semaine est un bon compromis entre le prix global du séjour sur place, la diversité des parcs, et le nombre de kilomètres à parcourir.

J’espère avoir pu vous éclairer si vous êtes dans l’objectif de faire un safari au Kenya, ou du moins que vous commencez à vous renseigner. Je vous souhaite dans ce cas un bon futur safari !

28 réponses

  1. Daré dit :

    Bonjour, j’envisage de faire un safari au Kenya, j’ai prévu un budget de 2000 euros billets d’avion compris pour une dizaine de jours.
    Pensez vous que c’est assez suffisant?
    Cordialement
    Nathalie

    • Bonjour,
      pour la question du budget c’est toujours difficile de donner un ordre de grandeur car le prix peut varier fortement en fonction de la compagnie aérienne, de la souplesse sur la saison et les dates, du standing des logements sur place, du fait de réaliser un voyage en groupe ou avec un guide/chauffeur dédié, etc…
      Avec le billet d’avion, 2000 € par personne pour une dizaine de jours me semblent néanmoins un peu faible. On est plutôt sur cet ordre de grandeur de prix, sans le billet d’avion.
      Vous pouvez faire des demandes de devis auprès d’agences en ligne, ou en physique, pour vous faire une idée, et comparer.
      Pour info, dans mon cas, j’étais autour de 3000 € par personne pour mon safari (vol compris). C’était un safari au Kenya d’une durée d’une semaine, avec 3 jours à Zanzibar ensuite. Nous avons également ajouté en plus quelques centaines d’euros pour le vol en montgolfière au Masai Mara, mais cela reste une option.

  2. Fdan21@gmail.com Daniel dit :

    Bonjour.
    Le Kenya, un vieux rêve que nous réalisons et nous partons fin de semaine prochaine avec l’agence Tui.
    J’ai beaucoup aimé votre article qui répond à pas mal de mes questions et mes interrogations.
    J’ai hâte d’y être.
    Par contre concernant le branchement électrique le descriptif du voyage précise 3 fiches rondes, internet parle de fiche type G (qui ne sont pas rondes), je suis indécise.
    Est-ce qu’un adaptateur universel marchera. Il s’agit de ne pas se louper car pour recharger les batteries de l’appareil photo on en a besoin.
    Votre conseil d’emporter une multiprise est ingénieuse, je n’y avais pas pensé.
    Pouvez-vous me conseiller pour l’adaptateur ?
    Merci beaucoup.
    Françoise D.

    • Bonjour,
      en principe pour le Kenya c’est un adaptateur de type G (avec des prises rectangulaires).
      Vous en trouverez sur Amazon, ou même directement à l’aéroport avant de partir. On en trouve facilement dans les petites boutiques (j’ai déjà acheté un adaptateur dans ces conditions, ayant oublié les miens avant de partir…).
      Si vous avez un adaptateur universel, en principe c’est bon. Vous pouvez vous rassurer en le retrouvant sur internet et en lisant sa description 😉 .
      La multiprise est une idée oui, ou deux adaptateurs. Mais en effet, entre les smartphones, appareil photo, et autres appareils éventuels (pc / tablette), c’est bien d’avoir plusieurs prises de disponibles pour recharger plusieurs appareils en même temps.
      N’hésitez pas également à venir partager votre ressenti de voyage à votre retour, notamment sur l’agence TUI. Cela pourra aider d’autres voyageurs.
      Pour ma part, j’ai déjà voyagé avec TUI (pas au Kenya), et j’en ai été satisfait.

      Je vous souhaite un bon safari au Kenya 😉

  3. Kaddour dit :

    Bonjour
    Je prépare mon safari au Kenya par l’intermédiaire d’un prestataire. Celui-ci me demande le paiement en espèces à mon arrivée.
    Est-ce une pratique courante ?
    Merci

    • Bonjour,
      courant je ne pense pas. Mais cela ne veut pas dire qu’il ne soit pas sérieux.
      Si c’est une agence qui n’a pas mis en place de moyen de paiement depuis son site internet (type carte bancaire ou Paypal), elle demande de payer sur place.
      Je vous conseille de chercher plutôt des avis sur ce prestataire en question.
      Personnellement (mais ce n’est que mon avis), j’évite les prestataires de ce type (sauf recommandation ou intermédiaire).
      Désolé de ne pas vous apporter de réponse franche. Je vous souhaite un bon safari au Kenya 😉 . Et n’hésitez pas à venir partager votre expérience avec ce prestataire à votre retour.

  4. sophie medina dit :

    Bonjour,
    j’envisage un voyage au Kenya l’an prochain pour mes 50 ans :o)
    Je commence donc mes recherches et je m’interroge : est-ce qu’il n’est pas judicieux de faire un plus petit nombre de parcs (donc moins de temps perdu sur les routes ou à faire et défaire ses valises) pour pouvoir passer plus de temps en safari ? Du genre, 3 parcs maxi pour une dizaine de jours ? Merci !
    Sophie

    • Bonjour,
      je dirais que chacun aime voyager différemment, mais de mon ressenti sur place durant mon safari au Kenya :
      – il ne faut pas passer plus de 2 ou 3 jours dans une même réserve. Observer des animaux est super, mais le faire sur des espèces similaires et un cadre similaire peut rapidement lasser tout de même. J’ai passé 2 jours au Masai Mara et j’ai trouvé cela suffisant typiquement.
      – ne passer qu’une après-midi dans certaines réserves (comme je l’ai fait pour le lac Nakuru par exemple, ou une fin d’après-midi et matinée à Amboseli) semble court.
      Bref, je dirais que 3 réserves en 10 jours au Kenya, c’est peu. Le compromis serait 4 ou 5 réserves, avec 2 jours par réserve environ, et le reste pour les trajets.
      De mon côté j’ai fait 5 parcs en 7 jours (Masai Mara, Amboseli, Nakuru, Tsavo Est et Tsavo Ouest), et en effet c’était dense…
      En espérant vous avoir aidé 🙂 .
      Je vous souhaite un beau voyage au Kenya, et de beaux safaris.

  5. Mariannick le Grand dit :

    Bonjour Nous partons au KENYA en Janvier 2020 Nous pensons faire un safari de 3 jours Pouvons nous réserver un organisateur sur place et au départ de notre hôtel Merci de votre réponse Mariannick

    • Bonjour,
      cela dépend de l’hôtel, et de où il se trouve. Typiquement la plupart des lodges dans les réserves ou aux abords le proposent sous forme de prestation.
      Depuis Mombasa (ville avec des hôtels en bord de mer, et donc touristique), je pense aussi. Pour Nairobi, peut-être moins.
      Si vous souhaitez procéder ainsi, regardez dans la description de l’hôtel, ou contactez-les directement.
      Sinon il reste la solution des excursions proposées par les opérateurs du tourisme (type GetYourGuide, Viator, Civitatis, etc..). Je n’ai pas de retour d’expérience pour des safaris au Kenya, et peux difficilement me baser sur les avis (car il y en a peu), mais je peux vous partager les liens de Tourscanner, un comparateur d’activités (ici pour le Masai Mara, ici pour Amboseli). Ça vous donnera une idée.

  6. PETZOLD Thierry dit :

    Merci pour tous ces bons conseils
    Nous partons en octobre avec un de nos petits enfants ( 6 ans ) et nous hesitons encore sur le mode de logement
    soit en lodges
    soit en tentes sur le toit du 4X4 ( magique pour un enfant de 6 ans )
    Sommes deja alles 2 fois en afrique du sud et une fois en Namibie
    L organisation seul du Road Trip ne me fait pas peur
    Quel est le prix des campings sur Amboseli Nakuru et Tsavo
    Si formule lodge peut on en y arrivant a chaque etape prendre un safari organise par le lodge avec un guide?
    Nous l avons fait a nos trois voyages Top car independance sans passer a cote de choses sympas
    Merci pour vos conseils
    Thierry

    • Bonjour Thierry,
      c’est sûr qu’un safari au Kenya avec les tentes sur le toit doit être une expérience hors du commun 🙂 .
      Pour les lodges, certains proposent l’organisation de safaris avec un guide, mais ce n’est pas systématique. Le mieux est de regarder dans leur description (sur Booking par exemple, ou sur leur site internet s’ils en ont un). Si je prends l’exemple du Mara Serena Safari Lodge, au Masai Mara, il est indiqué dans la description qu’ils peuvent organiser des safaris guidés en voiture. Parfois ce n’est pas spécifiquement mentionné, mais on peut le lire dans les commentaires des autres voyageurs que ça se fait. En général cette prestation de safari avec un guide est en supplément.
      Vous pouvez aussi contacter directement les lodges au préalable pour poser la question, et vous aider à faire votre choix.
      Pour le prix des campings je ne sais pas désolé, nous n’avons dormi que dans des lodges.
      Je vous souhaite un beau safari au Kenya.

      Cédric

  7. Céline dit :

    Bonjour , merci beaucoup pour votre article , je suis encore plus impatiente maintenant , j’espère que mon appareil SONY ALPHA 6000 sera à la hauteur car je pars ce 18 janvier

  8. Manceaux Denis dit :

    j’ai un objectif de 150,600 et un autre de 55,300 et de 18,55 sur un nikon D5000 je pense que c’est suffisant , qu’en pensez vous

  9. Manceaux Denis dit :

    je pars le 21 janvier 2019 au maisa mara merci beaucoup pour tous ses conseils hyper précieux

  10. marine dit :

    partir seule, vous en pensez quoi ? (seule avec une agence)

    • Bonjour Marine,
      je ne vois pas de contre-indication à partir seule pour un safari au Kenya avec une agence. Perso, si j’étais seul et que j’avais l’envie et la possibilité de faire un safari, je le ferais 🙂 .
      Si vous vous orientez sur une agence francophone où l’on est en petit groupe, vous sympathiserai probablement avec le reste du groupe.
      Néanmoins, si vous vous orientez sur un séjour privé, avec seulement le guide, vous aurez peut-être la sensation d’être seule par moment en effet. Au cœur des réserves au Kenya, ou du moins en dehors de Nairobi, on rencontre peu de monde, si ce n’est d’autres touristes dans les lodges…
      Après, chacun vit les moments de solitude différemment.
      Dans tous les cas, si vous vous rendez seule au Kenya faire un safari, n’hésitez pas à venir partager votre ressenti ici à votre retour. Et je vous souhaite dans ce cas d’avance un bon safari au Kenya 😉 .

  11. catherine. Portal dit :

    merci de vos conseils très utiles

  12. camille dit :

    bonjour,

    J’ai beaucoup aimé votre article, nous souhaitons partir en février au Kenya avec une agence. Nous sommes en train de finaliser les derniers détails. merci pour le point sur l’appareil photo, je vais me plonger dans la recherche d’un bon appareil car nous n’aurons peut-être pas la chance d’y retourner et nous aimerions garder des souvenirs hormis ceux dans nos mémoires.
    petite question, j’ai lu qu’il fallait donner un tip au chauffeur lors des excursions, est-ce que vous savez combien il faudrait donner ?
    merci

    • Bonjour Camille,
      merci pour votre retour. Je partage votre remarque sur les photos, un safari n’est pas un voyage qu’on réalise souvent, car son budget n’est pas donné… Donc autant garder des souvenirs.
      Néanmoins, même si j’aime faire des photos, je vous conseille tout de même d’observer les animaux avant tout 😉 .
      Dans notre cas nous avons eu le même guide / chauffeur durant tout le séjour. Nous lui avons en effet donné un pourboire à la fin. Les agences recommandent de donner de l’ordre de 5$ par jour et par personne. Si vous êtes 2 et que votre safari dure 6 jours, cela fait en principe 60 $ en tout.
      Après ce n’est qu’une théorie, rien d’officiel… Mais cela donne un ordre d’idée.
      Si vous vous rendez au Kenya par vous mêmes, sans passer par une agence, et faîtes des excursions au départ de Nairobi ou Mombasa, vous pouvez appliquer ce principe également.
      Je vous souhaite un bon séjour au Kenya.

  13. Sylviane Baltazar dit :

    Bonjour merci pour toutes ces informations nous partons au Kenya au mois de janvier. Serait-il possible de nous donner votre To car là aussi c’est la jungle Merci

    • Bonjour Sylviane,
      je ne suis pas sûr de bien saisir la question, mais je vais partir sur l’idée que TO signifie « Tour Opérateur » 🙂 .
      En effet il y en a beaucoup. Pour ma part c’était en 2012, et comme indiqué dans l’article j’étais passé par un tour opérateur faisant du sur-mesure, et faisant le relai directement avec un prestataire local.
      Le tour opérateur par lequel j’étais passé n’étais pas très connu et ne semble plus exister (« Voyages autrement »). Je recommande donc l’un des plus reconnus actuellement (Evaneos en l’occurrence), qui pousse le concept un peu plus loin afin d’obtenir encore de meilleurs prix. L’idée est de mettre en relation le voyageur directement avec les agences du lieu du voyage (en l’occurrence le Kenya ici), dans l’objectif de pouvoir personnaliser un maximum la prestation, et de supprimer les intermédiaires.
      Je vous souhaite un bon séjour au Kenya !

  14. Danroue dit :

    Bonjour,

    Merci pour tous ces précieuses informations.
    Je pars en février prochain. Concernant la monnaie est-ce que je ne prends que des dollars, que des shillings ou les deux ?
    Et concernant l’adaptateur électrique, connaissez-vous le modèle que je dois acheter ?
    Merci d’avance pour vos réponses.
    Bonne journée.

    • Bonjour,
      merci pour votre retour sur l’article 🙂 .
      Pour la monnaie ça dépend de comment vous prévoyez votre voyage. S’il s’agit d’un voyage organisé par une agence, vous n’aurez pas à sortir souvent d’argent, si ce n’est dans les hôtels pour les extras. Dans ce cas le dollar est suffisant.
      Mais si vous y allez par vous-mêmes, ou que vous avez des temps libres, vous aurez tout de même besoin du shilling Kenyan. Il reste la monnaie officielle. Je pense par exemple aux magasins, supermarchés, ou si vous faîtes des pleins d’essence… J’en avais emporté et l’avais utilisé notamment lors de mon premier jour à Nairobi.
      De ce que j’avais lu, les entrées dans les parcs se paient exclusivement en dollar. Mais encore une fois, si vous y allez avec une agence, ce point est transparent.
      En synthèse, oui il faut prévoir les deux monnaies. Mais en pratique vous sortirez davantage vos dollars, voire même euros dans certains hôtels qui les acceptent.
      Pour l’adaptateur, c’est comme pour se rendre au Royaume-Uni (Angleterre notamment). Si vous n’en avez pas, vous pouvez en commander sur Amazon via ce lien. On en trouve aussi dans les aéroports, dans les magasins situés dans les halls d’embarquement (ils sont peut-être plus cher néanmoins).
      D’un point de vue pratique, si vous voyagez au moins à 2, je recommande d’en avoir au moins 2. On a de plus en plus besoin de prises électriques 😉 .

      Je vous souhaite un bon séjour au Kenya, et bon safari 😉 .
      Cédric

  15. Dany GOURON dit :

    Je pars le 16 Septembre prochain. Merci pour votre article.

  16. Justine dit :

    ça donne envie de se lancer franchement !

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